<blockquote>Fiche de présentation
Prénom & Nom : Siyah Devileyes
Age : 21 ans ( depuis bien longtemps)
Sexe : Masculin
Race : Démon
Métier : Vendeur dans un magasin de farces et d'horreur
Classe: Marionnettiste/Manipulateur
Magie: Capacité cérébral et spirituelle développés
Dons: Humoriste, farceur et créatif
Lieu d'où provient votre personnage : Valêye
Description physique :
Si vous imaginez déjà un clown, ou un sale petite bête. Vous lisez la mauvaise fiche. Siyah est une perfection physique, il ne passe pas inaperçu (Ne vous imaginez pas un apollon). Aucun défaut, aucune cicatrise, ou mal formation. Un visage plus ou moins long, des yeux vert moyen avec un regard perçant et obscure (Après tout c’est un démon). Sa vrai race s’appelle « Phénylin » C’est belle et bien des démons du nord. Différent de ceux qu’on peut imaginer. A premier vu, ils ne sont pas différent d’un homme a part leur perfection qui fait pensez à des elfes, mais ils sont loin d’être si chaleureux et bienveillant (vous trouverez le pourquoi du comment en bio). Sa coupe de cheveux noir chocolat est bien taillé de côté avec des longs mèches en avant et en arrière forme un joli V jusqu’à la fin de son long cou. Sa peau est blanche comme un loup blanc. Son nez n’est ni si long ni si coure des petite narines. Au-dessous une petite bouche avec des lèvres pulpeuses d’un rouge sang.
Il fait un 1m85 pour 78kg, une taille fine et un corps d’athlète. Ses vêtements sont en cuire de hautes coutures, collées sur sa peau. Porte des gants bien raffinés en cuir fin. Maintenant, vous trouvez que rien ne cloche chez lui qu’il n’est pas si différent d’un être humain. Alors, enlevant ses vêtements qui cachent tout l’horreur. Un Phényle est une abomination, un être sans chaire et sans sangs. Son corps ne connaît aucune cellule vivant. Quel type de cellule tiendra à l’immortalité. Et il y’a que la magie qui ose expliquer l’inexplicable, tout tien avec des sorts. Le sort qui tien a son visage lui donne même de la fraicheur et de la vie ! Personne n’a vu un Phényle nu, Enfaite personne ne connais un autre phényle or Siyah, et ce dernier cache bien son identité. (Suite dans caractère)
Caractère :
C’est vrai, qu’il vient du Nord. Quoique son tempérament n’est pas si froid. Au contraire, il peut même parfois paraitre chaleureux pour un démon. Siyah aime sourire, faire sentir une bienveillance et une chaleur qui sème le doute. C’est le regard qu’il lance tout cette incertitude que beaucoup de personne peuvent sentir en le regardant. Peu bavard, Siyah trouve que les mots sont insuffisants pour exprimer un sentiment ou une sensation. La peur par exemple ne s’exprime qu’avec le cries de l’horreur et le visage effraie des personne victime de cette sensation. L’amour ne fait pas partie des sentiments qu’un phényle peut normalement sentir, ni même l’affection ou une préférence. Siyah garde une attitude unique avec tout le monde, la différence c’est que dés fois il ressent de la pitié et de la compassion pour les autres c’est ce qu’il le rend différent du reste de sa race et aussi c’est ce qu’il a ramené à Valêye depuis Glazzero.
Sa plus grande crainte c’est perdre le contrôle, car Siyah adorent le pouvoir mais le coté invisible de ce dernier. Il dit toujours : « Un bon marionnettiste c’est celui qui garde ses fils invisible ».
Qualité et défaut :
Comme étant un personnage ayant une histoire perturbante et instable, Siyah est colérique. Le mettre en colère est la pire chose qui peux vous arrivez car sa rancœur tombera sur vous. C’est la vengeance que Siyah se sent bien.
Son bon côté n’apparait pas souvent, que pour les gens qui apprécie et ceux qui leur fait confiance.
Histoire
Chapitre 1 : La naissance d’un marionnettiste
Je ne serai commencer à raconter mon passé. Je n’ai ni la capacité ni la volonté de le faire. J’étais une incarnation d’un cauchemar, du flou et du désespoir. Ce cauchemar ressemblé à celui qu’avant de dormir vous priez dieu pour qu’il vous protégé de ces vision diaboliques. Tout à commencer quand le sang de mes victimes brulé les yeux assez pour que je les ouvre. Leurs cris m’avaient enfin réveillé d’un long sommeil. Les vents glacés de Glazzero, n’avais aucun effet sur moi. Mon territoire effrayé même les autres Phényles, personne n’osé marcher sur mes terres que je gardais. Une fois alors qu’un simple groupe de vagabonds passés non loin mon territoire. Je pouvais sentir leur pas, la chaleur de leur sang et la fraicheur de leurs peaux bien couvertes avec la laine fabriqué de poils de mammouth. Je survolé les terres glacé, habillé d’une cape troué pour cacher mon corps visqueux de l’extérieur et fantomatique, vide de l’intérieur. Mon Squelette est tout abimé, je cache mon torse pour que le manque de côtes ne se fait pas remarqué de loin, pour ne pas les faire peur. Une fois arrivé tout près d’eux, la vie d’abomination allais bientôt s’éteindre car la femme qui descendait du chameau représenté l’extrémité de mon état. La neige perdrait sa blancheur devant la peau de cette femme, ses yeux bleu était très foncé et brillé comme deux étoiles filantes qu’on capture dans une orbite. Sa forme reste indéterminé car son manteau était très grand et cachait tout. Avant même de parler, d’une délicatesse elle enleva son capuchons pour montrer sa chevelure dorée orné d’une tresse au milieu.
« Nous somme perdus, nous espérons trouver un refuge la nuit… On a marché depuis trois jours sans même s’arrêté. Pouvez-vous …. »
Je ne comprenais rien de ce qu’elle disait, je n’ai jamais entendu une personne parlé. Pourquoi cette femme m’empêchais de l’attaqué, ni physiquement ni même avec mes dons de télékinésie. J’étais envouté. Je me réfugiais dans ma cape….
« Vous ne parlé pas ?! »
« Pourquoi…. » Répond je
« Parce ’que je suis comme vous … » avec un sourire d’une personne qui pense vous connaitre depuis bien longtemps.
Sans même me donné l’occasion de m’exprimer elle continua :
«Les vents murmurent, Votre cas ne peux être laissé comme ça. Votre sauvagerie doit être guérie, je suis bien évidemment désolé d’être venu en retard. Votre avenir est entre nos mains. Maintenant si ça vous dérange pas je compte passer la nuit près d’ici avec mes …. »
Elle leva sa main brusquement que j’ai failli l’attaqué. Les dix personne derrière elle tombé de leur chameau et se fracassait par terre. Le vent leur débarrassa de leurs caps en laissant une image de dix cadavres. C’était ses marionnettes…..
« Je crains que vous vous êtes trompé »
D’une audace particulière je fonce droite sur elle, après deux pas rapides je sautai n grand saut vers l’avant pour la capturer et la tué en lui fracassant le cou. En plein vol, elle leva sa main et elle me figea brusquement. J’étais suspendu dans les aires, j’essaie d’ouvrir la bouche, mais j’étais comme pétrifié. Son sort de lévitation était parfait sans même donnée une impression d’être concentré elle semblait même à l’aise.
« C’est moi qui crains de ne pas être asse convainquant »
Elle me cola sur le sol d’un coup sec, je gémissais de rage sans montrais la terrible douleur de se faire mutilé. Elle avança vers moi, ses pas étaient délicats et raffiné sur la neige dure. Elle me visait avec sa main gauche et mes yeux se refermais petit a petit jusqu’à perdre conscience…
La flamme de la bougie était très forte que mes yeux s’ouvrirent difficilement, j’avais un maux de tête qui paraissait incurable et très douloureux. J’ignorais ou j’étais, il faisait très chaud qu’un humain aurait transpiré. Ma vision était toujours floue et s’éclaircissait petit à petit. Une table apparaissait sans chaise autour, une armoire au fond et une silhouette de femme était en face tout près d’un coffre. Tout à coup, comme un flash-back je me rappelé du fait d’être suspendu, projeté et tourmenté ; je me rappelai de la femme et des marionnettes. Mon champ de vision enfin normal, je tente de bouger mon corps or je suis figé sur le plancher, c’est encore un de ses tours. Je lui lance un regard de reproche, mais elle s’en foutait et ouvrit la bouche :
« Ne te fatigue pas ! Nous somme en Valêye, tout à fait commit asse de massacre en Glazzero »
« Quesque vous voulez de moi, un service, vous faire des expériences scientifiques… »
« Je suis un phényle tout comme toi ! »
Dur d’y croire, même si elle est habillé et qu’on voit pas du tout la mal formation du corps, son visage est parfait et bien entretenu.
« Tu connais notre au moins notre histoire ? Non ?! Je vois… »
Dans ce moment embarrassant, figé sur le sol. Face à une femme bizarre qui dit des choses encore plus bizarres et absurdes.
« Que veux-tu bon sang ?! »
« J’ai connu votre mère ou plutôt celle qui vous à engendrer »
Bouché bé, je n’avais jamais pensé avant d’une chose pareille pas même pas une seul fois dans tout l’existence ridicule et sanguinaire que j’ai vécu.
« D’abord commençons par le début, notre origine ! Un phényle n’est pas un être naturel, ce n’est qu’une abomination qui s’est produit par une erreur purement égoïste. Un vampire qui tombe amoureux d’un démon, à cette époque les deux races avec d’autres races démoniaques et obscures avaient une relation très délicate et leur alliance n’était que momentané Just pour contrer les forces de la lumière. Parmi les conditions de cette alliance, rédigé par les esprits errants et signé par tous les races obscures : ‘’ne pas avoir de relation direct entre deux races de sexes opposés ’’ le but était claire pour ne pas avoir de sous race médiocre et garder des races pures. Quoique bien sûr, y’a pas plus agréable et attirant de contre dire la loi, Phares le vampire et Desmon le démon, était follement amoureux, ils ne pouvaient pas s’en empêchés ! Au moment de l’acte »
« Répugnant votre discoure ! »
« C’est toi qui le dit, mais les choses ne pouvais être pire ! Un esprit fut envoyé et entra en contact avec l’enfant qui fut engendré par Phares. Une abomination fut créée, le premier Phényle a vu le jour dans une grotte loin du monde. C’était un mélange de trois différentes races, vampire, démon et fantôme. »
« Alors, et moi en tout ça ?! »
« T’es le 712eme Phényle, ta mère était ma sœur. Elle était amoureuse d’un cousin et elle t’a eu toi. Elle est morte juste après ! Alors, je me devais d’accomplir mon devoir et te transmettre mon savoir à sa place. Je m’appelle lisette je suis la 118eme je te confie le magasin ainsi que la maison de ma sœur Sertone la 117eme. D’abord en va perfectionner ton physique et tu me diras qu’elle art veux-tu métriser, car les phényles on reçut des dons des 3 trois qui les ont engendré »
Sans même réfléchir je répondis
« Je veux être marionnettiste »
Comment avez vous découvert le forum? FB
Age : 18 ans
Cela fait longtemps que vous faites du rp ? Quel est votre niveau ?
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